Post by DepassagePost by abourickPost by E. LebretonPost by abourickEn 1949 6% de la population du Xinjiang appartenait à l'ethnie han et le
reste à l'ethnie ouïgour. Aujourd'hui la moitié de la population du
Xinjiang appartient à l'ethnie han. C'est comme ça qu'il faut traiter
l'islam, il faut le mépriser, l'humilier, l'abaisser, le réprimer, le
saigner à mort. Il faut le battre sans relâche jusqu'à ce qu'il crève.
Bravo la Chine, bravo les Hans et merde à ces couilles molles de LUESA !
A bas l'impérialisme nazislamiste ! A mort la pourriture occidentale !
Le dalaï-lama aussi ?
Tu défends cet esclavagiste allié aux nazis ? M'étonne pas d'une
ordure qui soutient le nazislam.
Là tu files un mauvais coton... ;-)
________________________________________________
Rappelons que le Daïla-lama a été formé par le Waffen SS Heinrich
Harrer.
Pour juger du caractère « démocratique » du Tibet, laissons-lui
« Ladomination qu’exerce les moines du Tibet est absolue. C’est
l’exemple type de la dictature cléricale ».
Il est stupéfiant de remarquer que le Dalaï-Lama actuel, en 1994, a
voulu réunir à Londres des personnalités occidentales ayant connu un
Tibet indépendant.
Sur les sept personnalités, il y avait les deux Waffen SS, Harrer
l’alpiniste et Beger l’ethnologue d’ Auschwitz et un diplomate chilien
du nom de Miguel Sorano qui a fait carrière dans le sillage de Kurt
Waldheim, en étant proche de Pinochet et des communautés nazies du sud
du Chili.
Le Tibet n’est pas un État indépendant, il est chinois depuis le XIIIe
siècle,
__________________________________________________
A l'heure où les médias sont si haineux à l'égard du catholicisme
traditionnel, il peut paraître surprenant de voir, en contrepartie,
l'importance donnée au Dalaï Lama .
En effet, depuis de nombreux mois, tous les politiciens font des
courbettes devant ce personnage et cela n'est, bien évidemment, pas
innocent !
« Le bouddhisme tibétain n'est ni philanthropique ni tolérant, et son
plus haut représentant, le Dalaï Lama , n'est pas un saint.
Cette déclaration émane de deux anciens collaborateurs du Prix Nobel de
la Paix.
Selon Herbert et Mariana Roettgen (de Munich), experts en études
culturelles, le Dalaï Lama , au lieu d'être le véritable champion de la
tolérance religieuse et de la co-existence des croyances, est le chef
d'un système religieux dont le but est de conquérir le monde.
Pendant les années 80, Herbert Roettgen faisait partie du groupe de
soutien allemand au Dalaï Lama . Il publiait ses écrits et organisait
ses meetings.
Mariana Roettgen était activement engagée dans la promotion du dialogue
inter-religieux.
Plus tard, ils décidèrent de réaliser une étude critique sur
l'arrière-plan occulte et politique du bouddhisme tibétain.
Les résultats de cette recherche furent publiés sous les pseudonymes de
Victor et Victoria Trimondi sous le titre "L'ombre du Dalaï Lama ".
Le Dalaï Lama a récemment visité Munich et a été reçu par le Ministre de
l'Intérieur allemand, Otto Schily du Parti Social Démocrate (SPD).
Mariana et Herbert Roettgen, interrogés par !dee, ont critiqué le SPD
pour avoir courtisé le chef d'une religion sans prendre garde à son
contenu inhumain.
Le Tantra Kalachakra préféré du Dalaï Lama contient "une manipulation
consciente des croyants, l'usage flagrant d'images d'ennemis et d'une
éthique de guerriers agressifs".
Le Tantra prône également un "scénario apocalyptique qui est censé
arriver en 2327 lorsqu'une 'bouddhocratie' sera établie après la
destruction des tenants d'autres confessions".
Il a inspiré des groupes fascistes aussi bien que le fameux gourou de la
secte japonaise Shoka Ashara, reponsable de l'empoisonnement de foules
au gaz sarin.
Le bouddhisme tibétain est centré sur la magie, la croyance aux esprits
et les rituels de sacrifice dans lesquels l'invocation d'esprits impurs
joue un rôle vital.
En fait, la "déesse protectrice personnelle" du Dalaï Lama est un
démon(nommé Palden Lhamo) dont le rôle est de détruire "les ennemis de
la vraie doctrine".
On dit que ce démon a tué son propre fils parce qu'il refusait d'adhérer
au bouddhisme. Des illustrations iconographiques dépeignent Palden Lhamo
traversant un lac de sang.
"Comment un homme saint comme le Dalaï Lama peut-il parler de tolérance
religieuse s'il possède une déesse protectrice comme celle-là 7',
demande Mariana Roettgen.
Selon M. et Mme Roettgen, les discours oecuméniques du Dalaï Lama sont
une farce à moins que les pratiques secrètes du Tantra Kalachacra soient
dévoilées également.
Les théologiens en vue ne prennent pas assez au sérieux les propres
affirmations du bouddhisme tibétain, plaident-ils.
Lors de réunions inter-religieuses, il est parfois affirmé que les
bouddhistes sont des chrétiens en mieux.
Pour des raisons politiques et religieuses évidentes, les représentants
officiels du bouddhisme tibétain et leurs disciples occidentaux ne
tolèrent aucune critique sur le Dalaï Lama et sur l'exploitation des
femmes en leur sein.
Les contrevenants sont calomniés et reçoivent même des menaces de mort »
Source : IDEA, numéro 8).
Aujourd'hui, il est connu que les dirigeants du Parti National
Socialisme ont cherché une "religion politique" et un "mouvement de culte".
Ce sujet était particulièrement discuté au sein de l'Ahnenerbe SS.
Ses dirigeants s'interrogeaient en effet sur la forme que devait avoir
une "religion national socialiste". Cette organisation SS avec Heinrich
Himmler à sa tête se considérait selon ses propres mots comme la «
troupe d'avant-garde de la recherche sur la religion allemande ».
Tous les membres dirigeants de ce « laboratoire religieux » partaient du
principe que la croyance des hommes de pure race aryenne était pratiquée
depuis les origines et qu'elle devait être redécouverte et restaurée.
« A l'aide de très nombreuses sources venant des archives, de la
littérature de seconde main et des écrits SS, nous pouvons prouver que
dans cette restauration d'une religion aryenne originelle, ses idées,
philosophies, mythologies, visions, dogmes et pratiques sacrées sont
avant tout venues des courants religieux de l'Orient.
ll se forma un milieu dévoyé scientifique et culturel, qui proclama que
le bouddhisme, les Védas, les Puranas, les Upanishads, la Bhagavad-Gîta,
le yoga, et même le tantrisme étaient les fragments spirituels d'une
religion originelle indo-aryenne et antisémite disparue.
En outre, eurent lieu des emprunts aux milieux culturels tibétains, mais
aussi à la tradition japonaise du Zen et des Samouraïs.
Le livre Hitler — Bouddha — Krishna développe de ce point de vue des
éléments d'information très éclairants.
Le livre comprend deux parties. La première partie se concentre sur
l'activité politico- religieuse à l'intérieur de l'Ahnenerbe.
Là seront discutés et débattus les emprunts faits aux religions
orientales, non seulement théoriques mais aussi ésotériques, car
Himmler, chef de l'organisation,encourageait les deux sortes de pensée.
Cette partie du livre examine également la connexion Nazisme- Tibet.
La deuxième partie du livre expose le testament funeste qui fut légué
par l'Ahnenerbe et donne un aperçu du néo-fascisme religieux, de
l'après- guerre jusqu'à nos jours.
Il s'agit d'un courant occulte de la sous-culture, déjà très puissant
dans les mythes, les modèles religieux, les dogmes, le fantastique et la
science-fiction, les visions, l'imagination, les doctrines et les
superstitions ésotériques, si étroitement associés à l'idéologie et à
l'histoire NS qu'ils forment un tout.
En l'occurrence, l'élément culturel indo-tibétain est si marqué que l'on
doit véritablement parler d'une doctrine indienne au contenu
national-socialiste. Hitler apparaît ici comme un avatar, comme
l'incarnation du dieu hindou Krishna, comme bodhisattva et comme
chakravartin (souverain sacré du monde).
Dans la deuxième partie est aussi présenté et débattu l'intérêt des
milieux fascistes pour le rituel tibétain du tantra de Kalachakra. [...]
Le livre Hitler — Bouddha — Krishna présente les biographies et les
idées des idéologues nazis les plus importants, en prenant
particulièrement en considération l'influence orientale et spécialement
bouddhiste sur leur pensée et leurs projets visionnaires.
Heinrich Himmler, Reichsführer SS, admirateur de la philosophie
orientale. Citation de Himmler : "J'admire la sagesse des fondateurs de
la religion hindoue". Himmler adhérait à la doctrine bouddhiste du karma
et de la réincarnation.
Walther MM, Standartenführer SS, Administrateur de l'Ahnenerbe SS,
recteur de l'Université de Munich et orientaliste. Wüst doit être
considéré comme le véritable élément moteur du "laboratoire religieux"
de l'Ahnenerbe SS. Il pensait que les fondements d'une religion NS
[National Socialiste] à créer devaient se trouver dans les textes
védiques et bouddhistes de l'Inde.
Le fondateur du "Mouvement de la Foi Allemande" et futur
Hauptsturmführer SS, est Jakob Wilhelm Hauer. L'indologue et
sanskritiste travailla sur la typologie d'un yogi guerrier invincible
qu'il tira de la Bhagavad-Gïta et des écrits bouddhistes.
Le Brigadeführer SS Karl Maria Wiligut (le "Raspoutine de Himmler"), est
l'occultiste dans l'Ahnenerbe. Il prétendait avoir des contacts mentaux
avec les lamas des monastères tibétains.
Les chercheurs SS en tibétologie Ernst Schâfer et Bruno Beger
considéraient le lamaïsme comme une véritable caverne au trésor, dans
laquelle était conservée la connaissance aryenne originelle.
Le livre discute aussi des rapports de Sven Hedin avec le régime NS et
avec Hitler.
Le spécialiste du Japon, géopoliticien et président de l'Académie
allemande, Karl Haushofer.
Il considérait le fascisme d'Etat shintoïste comme un exemple digne
d'être imité par le national-socialisme.
Les spécialistes allemands du bouddhisme Zen, Eugen Herrigel et
Karifried Dürckheim, tentèrent de relier le national-socialisme à la
philosophie Zen.
Le philosophe fasciste Julius Evola, dont la pensée eut une influence
durable sur la SS, et aussi jusqu'à nos jours. L'édifice de la doctrine
traditionaliste d'Evola était essentiellement basé sur les doctrines du
bouddhisme et du tantrisme.
Le mystique SS du Graal Otto Rahn et les milieux néobouddhistes en
France, avec lesquels il était en relation. Sous cette influence, Rahn
prétendit que le "Graal des Cathares" devait être un "symbole spirituel
issu du bouddhisme pr.
L'orientaliste français, chef de la police secrète française (S.S.S.) et
collaborateur des SS, Jean Marquès-Rivière. Il passe pour être un des
chercheurs occidentaux les plus importants sur le tantra tibétain de
Kalachakra.
La "prêtresse d'Hitler", Savitri Devi, convertie à l'hindouisme, a
contribué de manière décisive après la guerre à la sacralisation
d'Hitler et à établir le national- socialisme comme une religion
sectaire quasi-hindoue.
Les inventeurs des "mystères nazis", les deux occultistes français
Jacques Bergier et Louis Pauwels, ainsi que l'Anglais Trevor
Ravenscroft. Les trois auteurs ont lié le national-socialisme au mythe
indo-tibétain de Shambhala.
Les idéologues du "Soleil Noir", les deux viennois Wilhelm Landig et
Rudolf J. Mund ainsi que l'auteur Jan van Helsing. Ces auteurs pensent
que le lamaïsme tibéto-mongol et la doctrine ésotérique du
national-socialisme doivent avoir une source commune dans l'Atlantide.
Miguel Serrano, diplomate chilien et fondateur de I—Hitlérisme
ésotérique". Serrano est un connaisseur de la doctrine tantrique. Les
bases de son édifice doctrinal raciste sont d'origines indo-tibétaines.
Cet auteur a vénéré Hitler comme le dixième avatar du dieu KrishnaNishnou.
Pour cette raison, le dictateur allemand est immortel pour Serrano et
réapparaîtra comme Vengeur lors de l'apocalyptique Guerre Finale
[Endkrieg] pour établir la domination mondiale de la race aryenne.
Qu'ont recherché et trouvé les idéologues nazis au Tibet ?
Les idéologues nazis étaient convaincus qu'au Tibet avaient survécu les
vestiges d'une race aryenne originelle et ils organisèrent une
expédition pour les retrouver.
Ils pensaient que dans les textes du lamaïsme et dans les monastères
tibétains était conservée la connaissance des anciens Aryens.
Les tibétologues de l'Ahnenerbe SS devaient décrypter cette connaissance
par des traductions et par l'analyse des textes.
Les tibétologues SS étaient fascinés par le caractère magico-occulte de
la culture lamaïste.
Certains occultistes à l'intérieur de l'Ahnenerbe SS croyaient même être
en contact psychique avec les lamas tibétains.
Les deux chefs de l'expédition SS au Tibet, Ernst Schâfer et Bruno
Beger, se sentaient particulièrement attirés par les aspects morbides et
guerriers du bouddhisme tibétain. L'Himalaya fut un objectif de conquête
privilégié de l'alpinisme SS.
Ernesto Milà écrit : "Aucune expédition de l'Ahnenerbe n'a autant fait
parler d'elle que celle qu'entreprit, avant le commencement de la guerre
mondiale, un groupe de cinq chercheurs allemands, accompagnés de vingt
volontaires des SS.
Pour certains prétendus spécialistes de l'ésotérisme, il n'y aurait
aucun doute que les SS auraient été à la recherche d'un contact avec le
Roi du Monde, d'autres prétendent qu'ils faisaient des recherches sur la
porte secrète de l'Agartha...
Cette mission fut dirigée par le Standartenfùhrer Schaeffer et, comme
l'écrivirent quelques chercheurs, il s'agissait d'étudier les origines
de la race nordique.
Julius Evola, qui connaissait parfaitement le monde ésotérique à la
périphérie du nazisme, se faisait une piètre idée de cette expédition.
Il écrivit : Les SS organisèrent une expédition au Tibet, avec des
alpinistes et des ethnologues chevronnés, et une expédition dans
l'Antarctique, à des fins, semble-t- il, d'exploration et aussi pour
étudier l'éventuelle création de bases militaires.
Selon des interprétations fantaisistes, la première expédition aurait
cherché à entrer en contact avec un centre secret de la Tradition,
l'autre aurait recherché un contact avec la Thulé hyperboréenne occulte.
Toutefois, en ce qui concerne l'expédition au Tibet, les choses sont
sensiblement différentes et l'explication nous semble moins simple que
ne le disait Evola.
Dans l'expédition au Tibet il existait un intérêt archéologique et
anthropologique, mais n'oublions pas qu'une partie des activités de
l'Ahnenerbe était centrée sur l'étude des légendes et des traditions et
qu'un déplacement de cinq scientifiques SS au Tibet, secondés par une
escorte, pouvait seulement être intéressé par les mythes et les légendes
tibétains, le plus important d'entre eux concernant le Roi du Monde,
le chakravarti ou Seigneur de la Roue.
Quinze années avant l'expédition, un Occidental chassé par les
péripéties de la révolution russe, Ferdinand Ossendowsky, raconta ses
aventures dans un livre remarquable intitulé Bêtes, Hommes et dieux,
dans lequel il faisait explicitement référence au Roi du Monde et
certifiait que le baron Ungem Khan von Sternberg avait reçu des
émissaires de ce dernier et affirmait que le Dalaï Lama avait des
contacts similaires.
Nous pouvons interpoler ici l'information recueillie personnellement
auprès d'une communauté bouddhiste européenne dont l'instructeur, un
lama tibétain aujourd'hui décédé et assez connu dans les milieux
bouddhistes occidentaux, était en possession d'une fleur de Shambala.
Où tout cela nous mène-t-il ? A démontrer que c'était au Tibet que la
tradition du Roi du Monde était la plus vivante, ce qui revient à dire
que la tradition tibétaine était en mesure de renouveler les contacts de
l'Occident avec ce centre suprême de l'occulte.
Savitri Devi — néo-nazie européenne mariée à un brahmane — rappelle que
cette expédition au Tibet ne fut pas la seule chose que les
scientifiques nazis effectuèrent en Extrême-Orient.
Ils multiplièrent aussi, nous dit-elle, les contacts en Inde avec les
représentants des hautes castes, contacts dans lesquels son propre
conjoint eut un rôle prépondérant, par le truchement de l'ambassadeur
[d'Allemagne] von Salzman.
Dans Souvenirs d'une Aryenne, Savitri Devi écrivit : l'aspiration de
Hitler était de renouer le contact avec la tradition à laquelle l'Inde
était fidèle.
La question est donc : est-ce un hasard si un secteur du régime nazi
(les SS) eut l'intention d'obtenir une légitimation qui serait
supérieure à la légitimation populaire et plébiscitaire ? Est-ce un
hasard si ces mêmes secteurs recherchaient la légitimation du Roi du
Monde ?"
Depuis quelques années, le bouddhisme tibétain, l'histoire du lamaïsme,
les conditions de vie parmi les Tibétains en exil et le 14e Dalaï Lama
lui-même se retrouvent sous le feu des critiques qui ne viennent
pourtant pas cette fois-ci du côté chinois.
En effet, des historiens américains remettent en question les louanges
portées à l'histoire tibétaine (Melvin C. Goldstein, A. Tom Grundfeld).
Des tibétologues critiques accusent la tibétologie officielle de
manipulations ciblées (Donald S. Lopez Jr.).
Des chercheurs spécialisés dans l'étude du bouddhisme tibétain examinent
l'influence de l'idéologie s'étant développée fortement à travers le
"mythe du Tibet" grâce à l'aide des lamas (Peter Bishop).
Des politiciennes réputées ont dû se rendre à l'évidence après avoir vu
de leurs propres yeux qu'il n'existait pas de "génocide" provoqué par
les Chinois contrairement à ce qu'affirment encore et toujours les
Tibétains en exil (Antje Vollmar, Mary Robinson).
D'anciennes bouddhistes dénoncent, en toute connaissance de cause,
l'oppression et l'abus systématiques et raffinés subis par les femmes
dans le bouddhisme tibétain après l'avoir vécu elles-mêmes, ce qui leur
permet de posséder une connaissance profonde de la question (June Campbell).
Des psychologues et des psychanalystes examinent le côté agressif et
morbide de la culture lamaïste (Robert A. Paul, Fokke Sierksma, Colin
Goldner).
Depuis 1997, des personnes appartenant à la suite personnelle du
Dalaï-lama ont apporté des preuves accablantes de l'intolérance, de la
superstition et de l'autocratie régnant au sein du bouddhisme tibétain
(affaire Shugden).
L'univers des rites lamaïstes a également rencontré une critique sévère.
Les intentions humanistes, pacifiques, tolérantes et oecuméniques du
tantra du Kalachakra et du mythe du Shambhata sont remises en question
par une vaste étude (Victor et Victoria Trimondi).
Des émissions télévisées allemandes, suisses et autrichiennes ont
également émis de fortes critiques à l'envers du 14e Dalaï-lama et de
son système basé sur la magie (Panorama, 10 nach 10, Treffpunkt Kultur).
Lors de la visite du "prince de l'église" tibétaine à Munich (mai 2000),
la décision des "pro- Dalaï-lama" d'inviter le "roi-dieu" tibétain à une
manifestation de grande envergure provoqua même une division au sein du
SPD (parti socialiste allemand) et partagea l'ensemble de la presse.
modèle de pouvoir non démocratique et autocratique ;
oppression de toute opposition politique ;
répression des minorités religieuses ;
décisions politiques par décrets personnels sans dialogue ni discussion ;
falsification consciente de l'histoire du Tibet ;
relations non critiquables à ses yeux avec d'anciens SS et avec des
néo-nazis ;
diffamation des critiques ;
rites antiféministes.
Au travers du charisme du Dalaï-lama, de ses démarches, de ses discours
et de ses écrits, apparemment politico-humanistes, s'opère une
gigantesque importation de la culture orientale en Occident, le tout
accepté sans réflexion approfondie.
Le leader bouddhiste interpelle l'homme dans son profond besoin
d'harmonie et de paix.
Cependant la propre histoire du lamaïsme, le contenu des tantras et la
nature des rituels ainsi que les conditions parmi les Tibétains en exil
sont tout sauf paisibles et harmonieux.
Le bouddhisme tibétain est un système religieux archaïque reposant sur
la magie et que les Occidentaux n'ont pas encore commencé à sonder, ni à
expliquer' ».
Post by abourickPost by E. LebretonPost by abourickEn 1949 6% de la population du Xinjiang appartenait à l'ethnie han et le
reste à l'ethnie ouïgour. Aujourd'hui la moitié de la population du
Xinjiang appartient à l'ethnie han. C'est comme ça qu'il faut traiter
l'islam, il faut le mépriser, l'humilier, l'abaisser, le réprimer, le
saigner à mort. Il faut le battre sans relâche jusqu'à ce qu'il crève.
Bravo la Chine, bravo les Hans et merde à ces couilles molles de LUESA !
A bas l'impérialisme nazislamiste ! A mort la pourriture occidentale !
Le dalaï-lama aussi ?
Tu défends cet esclavagiste allié aux nazis ? M'étonne pas d'une
ordure qui soutient le nazislam.
Là tu files un mauvais coton... ;-)
________________________________________________
Rappelons que le Daïla-lama a été formé par le Waffen SS Heinrich
Harrer.
Pour juger du caractère « démocratique » du Tibet, laissons-lui
« Ladomination qu’exerce les moines du Tibet est absolue. C’est
l’exemple type de la dictature cléricale ».
Il est stupéfiant de remarquer que le Dalaï-Lama actuel, en 1994, a
voulu réunir à Londres des personnalités occidentales ayant connu un
Tibet indépendant.
Sur les sept personnalités, il y avait les deux Waffen SS, Harrer
l’alpiniste et Beger l’ethnologue d’ Auschwitz et un diplomate chilien
du nom de Miguel Sorano qui a fait carrière dans le sillage de Kurt
Waldheim, en étant proche de Pinochet et des communautés nazies du sud
du Chili.
Le Tibet n’est pas un État indépendant, il est chinois depuis le XIIIe
siècle,
__________________________________________________
A l'heure où les médias sont si haineux à l'égard du catholicisme
traditionnel, il peut paraître surprenant de voir, en contrepartie,
l'importance donnée au Dalaï Lama .
En effet, depuis de nombreux mois, tous les politiciens font des
courbettes devant ce personnage et cela n'est, bien évidemment, pas
innocent !
« Le bouddhisme tibétain n'est ni philanthropique ni tolérant, et son
plus haut représentant, le Dalaï Lama , n'est pas un saint.
Cette déclaration émane de deux anciens collaborateurs du Prix Nobel de
la Paix.
Selon Herbert et Mariana Roettgen (de Munich), experts en études
culturelles, le Dalaï Lama , au lieu d'être le véritable champion de la
tolérance religieuse et de la co-existence des croyances, est le chef
d'un système religieux dont le but est de conquérir le monde.
Pendant les années 80, Herbert Roettgen faisait partie du groupe de
soutien allemand au Dalaï Lama . Il publiait ses écrits et organisait
ses meetings.
Mariana Roettgen était activement engagée dans la promotion du dialogue
inter-religieux.
Plus tard, ils décidèrent de réaliser une étude critique sur
l'arrière-plan occulte et politique du bouddhisme tibétain.
Les résultats de cette recherche furent publiés sous les pseudonymes de
Victor et Victoria Trimondi sous le titre "L'ombre du Dalaï Lama ".
Le Dalaï Lama a récemment visité Munich et a été reçu par le Ministre de
l'Intérieur allemand, Otto Schily du Parti Social Démocrate (SPD).
Mariana et Herbert Roettgen, interrogés par !dee, ont critiqué le SPD
pour avoir courtisé le chef d'une religion sans prendre garde à son
contenu inhumain.
Le Tantra Kalachakra préféré du Dalaï Lama contient "une manipulation
consciente des croyants, l'usage flagrant d'images d'ennemis et d'une
éthique de guerriers agressifs".
Le Tantra prône également un "scénario apocalyptique qui est censé
arriver en 2327 lorsqu'une 'bouddhocratie' sera établie après la
destruction des tenants d'autres confessions".
Il a inspiré des groupes fascistes aussi bien que le fameux gourou de la
secte japonaise Shoka Ashara, reponsable de l'empoisonnement de foules
au gaz sarin.
Le bouddhisme tibétain est centré sur la magie, la croyance aux esprits
et les rituels de sacrifice dans lesquels l'invocation d'esprits impurs
joue un rôle vital.
En fait, la "déesse protectrice personnelle" du Dalaï Lama est un
démon(nommé Palden Lhamo) dont le rôle est de détruire "les ennemis de
la vraie doctrine".
On dit que ce démon a tué son propre fils parce qu'il refusait d'adhérer
au bouddhisme. Des illustrations iconographiques dépeignent Palden Lhamo
traversant un lac de sang.
"Comment un homme saint comme le Dalaï Lama peut-il parler de tolérance
religieuse s'il possède une déesse protectrice comme celle-là 7',
demande Mariana Roettgen.
Selon M. et Mme Roettgen, les discours oecuméniques du Dalaï Lama sont
une farce à moins que les pratiques secrètes du Tantra Kalachacra soient
dévoilées également.
Les théologiens en vue ne prennent pas assez au sérieux les propres
affirmations du bouddhisme tibétain, plaident-ils.
Lors de réunions inter-religieuses, il est parfois affirmé que les
bouddhistes sont des chrétiens en mieux.
Pour des raisons politiques et religieuses évidentes, les représentants
officiels du bouddhisme tibétain et leurs disciples occidentaux ne
tolèrent aucune critique sur le Dalaï Lama et sur l'exploitation des
femmes en leur sein.
Les contrevenants sont calomniés et reçoivent même des menaces de mort »
Source : IDEA, numéro 8).
Aujourd'hui, il est connu que les dirigeants du Parti National
Socialisme ont cherché une "religion politique" et un "mouvement de culte".
Ce sujet était particulièrement discuté au sein de l'Ahnenerbe SS.
Ses dirigeants s'interrogeaient en effet sur la forme que devait avoir
une "religion national socialiste". Cette organisation SS avec Heinrich
Himmler à sa tête se considérait selon ses propres mots comme la «
troupe d'avant-garde de la recherche sur la religion allemande ».
Tous les membres dirigeants de ce « laboratoire religieux » partaient du
principe que la croyance des hommes de pure race aryenne était pratiquée
depuis les origines et qu'elle devait être redécouverte et restaurée.
« A l'aide de très nombreuses sources venant des archives, de la
littérature de seconde main et des écrits SS, nous pouvons prouver que
dans cette restauration d'une religion aryenne originelle, ses idées,
philosophies, mythologies, visions, dogmes et pratiques sacrées sont
avant tout venues des courants religieux de l'Orient.
ll se forma un milieu dévoyé scientifique et culturel, qui proclama que
le bouddhisme, les Védas, les Puranas, les Upanishads, la Bhagavad-Gîta,
le yoga, et même le tantrisme étaient les fragments spirituels d'une
religion originelle indo-aryenne et antisémite disparue.
En outre, eurent lieu des emprunts aux milieux culturels tibétains, mais
aussi à la tradition japonaise du Zen et des Samouraïs.
Le livre Hitler — Bouddha — Krishna développe de ce point de vue des
éléments d'information très éclairants.
Le livre comprend deux parties. La première partie se concentre sur
l'activité politico- religieuse à l'intérieur de l'Ahnenerbe.
Là seront discutés et débattus les emprunts faits aux religions
orientales, non seulement théoriques mais aussi ésotériques, car
Himmler, chef de l'organisation,encourageait les deux sortes de pensée.
Cette partie du livre examine également la connexion Nazisme- Tibet.
La deuxième partie du livre expose le testament funeste qui fut légué
par l'Ahnenerbe et donne un aperçu du néo-fascisme religieux, de
l'après- guerre jusqu'à nos jours.
Il s'agit d'un courant occulte de la sous-culture, déjà très puissant
dans les mythes, les modèles religieux, les dogmes, le fantastique et la
science-fiction, les visions, l'imagination, les doctrines et les
superstitions ésotériques, si étroitement associés à l'idéologie et à
l'histoire NS qu'ils forment un tout.
En l'occurrence, l'élément culturel indo-tibétain est si marqué que l'on
doit véritablement parler d'une doctrine indienne au contenu
national-socialiste. Hitler apparaît ici comme un avatar, comme
l'incarnation du dieu hindou Krishna, comme bodhisattva et comme
chakravartin (souverain sacré du monde).
Dans la deuxième partie est aussi présenté et débattu l'intérêt des
milieux fascistes pour le rituel tibétain du tantra de Kalachakra. [...]
Le livre Hitler — Bouddha — Krishna présente les biographies et les
idées des idéologues nazis les plus importants, en prenant
particulièrement en considération l'influence orientale et spécialement
bouddhiste sur leur pensée et leurs projets visionnaires.
Heinrich Himmler, Reichsführer SS, admirateur de la philosophie
orientale. Citation de Himmler : "J'admire la sagesse des fondateurs de
la religion hindoue". Himmler adhérait à la doctrine bouddhiste du karma
et de la réincarnation.
Walther MM, Standartenführer SS, Administrateur de l'Ahnenerbe SS,
recteur de l'Université de Munich et orientaliste. Wüst doit être
considéré comme le véritable élément moteur du "laboratoire religieux"
de l'Ahnenerbe SS. Il pensait que les fondements d'une religion NS
[National Socialiste] à créer devaient se trouver dans les textes
védiques et bouddhistes de l'Inde.
Le fondateur du "Mouvement de la Foi Allemande" et futur
Hauptsturmführer SS, est Jakob Wilhelm Hauer. L'indologue et
sanskritiste travailla sur la typologie d'un yogi guerrier invincible
qu'il tira de la Bhagavad-Gïta et des écrits bouddhistes.
Le Brigadeführer SS Karl Maria Wiligut (le "Raspoutine de Himmler"), est
l'occultiste dans l'Ahnenerbe. Il prétendait avoir des contacts mentaux
avec les lamas des monastères tibétains.
Les chercheurs SS en tibétologie Ernst Schâfer et Bruno Beger
considéraient le lamaïsme comme une véritable caverne au trésor, dans
laquelle était conservée la connaissance aryenne originelle.
Le livre discute aussi des rapports de Sven Hedin avec le régime NS et
avec Hitler.
Le spécialiste du Japon, géopoliticien et président de l'Académie
allemande, Karl Haushofer.
Il considérait le fascisme d'Etat shintoïste comme un exemple digne
d'être imité par le national-socialisme.
Les spécialistes allemands du bouddhisme Zen, Eugen Herrigel et
Karifried Dürckheim, tentèrent de relier le national-socialisme à la
philosophie Zen.
Le philosophe fasciste Julius Evola, dont la pensée eut une influence
durable sur la SS, et aussi jusqu'à nos jours. L'édifice de la doctrine
traditionaliste d'Evola était essentiellement basé sur les doctrines du
bouddhisme et du tantrisme.
Le mystique SS du Graal Otto Rahn et les milieux néobouddhistes en
France, avec lesquels il était en relation. Sous cette influence, Rahn
prétendit que le "Graal des Cathares" devait être un "symbole spirituel
issu du bouddhisme pr.
L'orientaliste français, chef de la police secrète française (S.S.S.) et
collaborateur des SS, Jean Marquès-Rivière. Il passe pour être un des
chercheurs occidentaux les plus importants sur le tantra tibétain de
Kalachakra.
La "prêtresse d'Hitler", Savitri Devi, convertie à l'hindouisme, a
contribué de manière décisive après la guerre à la sacralisation
d'Hitler et à établir le national- socialisme comme une religion
sectaire quasi-hindoue.
Les inventeurs des "mystères nazis", les deux occultistes français
Jacques Bergier et Louis Pauwels, ainsi que l'Anglais Trevor
Ravenscroft. Les trois auteurs ont lié le national-socialisme au mythe
indo-tibétain de Shambhala.
Les idéologues du "Soleil Noir", les deux viennois Wilhelm Landig et
Rudolf J. Mund ainsi que l'auteur Jan van Helsing. Ces auteurs pensent
que le lamaïsme tibéto-mongol et la doctrine ésotérique du
national-socialisme doivent avoir une source commune dans l'Atlantide.
Miguel Serrano, diplomate chilien et fondateur de I—Hitlérisme
ésotérique". Serrano est un connaisseur de la doctrine tantrique. Les
bases de son édifice doctrinal raciste sont d'origines indo-tibétaines.
Cet auteur a vénéré Hitler comme le dixième avatar du dieu KrishnaNishnou.
Pour cette raison, le dictateur allemand est immortel pour Serrano et
réapparaîtra comme Vengeur lors de l'apocalyptique Guerre Finale
[Endkrieg] pour établir la domination mondiale de la race aryenne.
Qu'ont recherché et trouvé les idéologues nazis au Tibet ?
Les idéologues nazis étaient convaincus qu'au Tibet avaient survécu les
vestiges d'une race aryenne originelle et ils organisèrent une
expédition pour les retrouver.
Ils pensaient que dans les textes du lamaïsme et dans les monastères
tibétains était conservée la connaissance des anciens Aryens.
Les tibétologues de l'Ahnenerbe SS devaient décrypter cette connaissance
par des traductions et par l'analyse des textes.
Les tibétologues SS étaient fascinés par le caractère magico-occulte de
la culture lamaïste.
Certains occultistes à l'intérieur de l'Ahnenerbe SS croyaient même être
en contact psychique avec les lamas tibétains.
Les deux chefs de l'expédition SS au Tibet, Ernst Schâfer et Bruno
Beger, se sentaient particulièrement attirés par les aspects morbides et
guerriers du bouddhisme tibétain. L'Himalaya fut un objectif de conquête
privilégié de l'alpinisme SS.
Ernesto Milà écrit : "Aucune expédition de l'Ahnenerbe n'a autant fait
parler d'elle que celle qu'entreprit, avant le commencement de la guerre
mondiale, un groupe de cinq chercheurs allemands, accompagnés de vingt
volontaires des SS.
Pour certains prétendus spécialistes de l'ésotérisme, il n'y aurait
aucun doute que les SS auraient été à la recherche d'un contact avec le
Roi du Monde, d'autres prétendent qu'ils faisaient des recherches sur la
porte secrète de l'Agartha...
Cette mission fut dirigée par le Standartenfùhrer Schaeffer et, comme
l'écrivirent quelques chercheurs, il s'agissait d'étudier les origines
de la race nordique.
Julius Evola, qui connaissait parfaitement le monde ésotérique à la
périphérie du nazisme, se faisait une piètre idée de cette expédition.
Il écrivit : Les SS organisèrent une expédition au Tibet, avec des
alpinistes et des ethnologues chevronnés, et une expédition dans
l'Antarctique, à des fins, semble-t- il, d'exploration et aussi pour
étudier l'éventuelle création de bases militaires.
Selon des interprétations fantaisistes, la première expédition aurait
cherché à entrer en contact avec un centre secret de la Tradition,
l'autre aurait recherché un contact avec la Thulé hyperboréenne occulte.
Toutefois, en ce qui concerne l'expédition au Tibet, les choses sont
sensiblement différentes et l'explication nous semble moins simple que
ne le disait Evola.
Dans l'expédition au Tibet il existait un intérêt archéologique et
anthropologique, mais n'oublions pas qu'une partie des activités de
l'Ahnenerbe était centrée sur l'étude des légendes et des traditions et
qu'un déplacement de cinq scientifiques SS au Tibet, secondés par une
escorte, pouvait seulement être intéressé par les mythes et les légendes
tibétains, le plus important d'entre eux concernant le Roi du Monde,
le chakravarti ou Seigneur de la Roue.
Quinze années avant l'expédition, un Occidental chassé par les
péripéties de la révolution russe, Ferdinand Ossendowsky, raconta ses
aventures dans un livre remarquable intitulé Bêtes, Hommes et dieux,
dans lequel il faisait explicitement référence au Roi du Monde et
certifiait que le baron Ungem Khan von Sternberg avait reçu des
émissaires de ce dernier et affirmait que le Dalaï Lama avait des
contacts similaires.
Nous pouvons interpoler ici l'information recueillie personnellement
auprès d'une communauté bouddhiste européenne dont l'instructeur, un
lama tibétain aujourd'hui décédé et assez connu dans les milieux
bouddhistes occidentaux, était en possession d'une fleur de Shambala.
Où tout cela nous mène-t-il ? A démontrer que c'était au Tibet que la
tradition du Roi du Monde était la plus vivante, ce qui revient à dire
que la tradition tibétaine était en mesure de renouveler les contacts de
l'Occident avec ce centre suprême de l'occulte.
Savitri Devi — néo-nazie européenne mariée à un brahmane — rappelle que
cette expédition au Tibet ne fut pas la seule chose que les
scientifiques nazis effectuèrent en Extrême-Orient.
Ils multiplièrent aussi, nous dit-elle, les contacts en Inde avec les
représentants des hautes castes, contacts dans lesquels son propre
conjoint eut un rôle prépondérant, par le truchement de l'ambassadeur
[d'Allemagne] von Salzman.
Dans Souvenirs d'une Aryenne, Savitri Devi écrivit : l'aspiration de
Hitler était de renouer le contact avec la tradition à laquelle l'Inde
était fidèle.
La question est donc : est-ce un hasard si un secteur du régime nazi
(les SS) eut l'intention d'obtenir une légitimation qui serait
supérieure à la légitimation populaire et plébiscitaire ? Est-ce un
hasard si ces mêmes secteurs recherchaient la légitimation du Roi du
Monde ?"
Depuis quelques années, le bouddhisme tibétain, l'histoire du lamaïsme,
les conditions de vie parmi les Tibétains en exil et le 14e Dalaï Lama
lui-même se retrouvent sous le feu des critiques qui ne viennent
pourtant pas cette fois-ci du côté chinois.
En effet, des historiens américains remettent en question les louanges
portées à l'histoire tibétaine (Melvin C. Goldstein, A. Tom Grundfeld).
Des tibétologues critiques accusent la tibétologie officielle de
manipulations ciblées (Donald S. Lopez Jr.).
Des chercheurs spécialisés dans l'étude du bouddhisme tibétain examinent
l'influence de l'idéologie s'étant développée fortement à travers le
"mythe du Tibet" grâce à l'aide des lamas (Peter Bishop).
Des politiciennes réputées ont dû se rendre à l'évidence après avoir vu
de leurs propres yeux qu'il n'existait pas de "génocide" provoqué par
les Chinois contrairement à ce qu'affirment encore et toujours les
Tibétains en exil (Antje Vollmar, Mary Robinson).
D'anciennes bouddhistes dénoncent, en toute connaissance de cause,
l'oppression et l'abus systématiques et raffinés subis par les femmes
dans le bouddhisme tibétain après l'avoir vécu elles-mêmes, ce qui leur
permet de posséder une connaissance profonde de la question (June Campbell).
Des psychologues et des psychanalystes examinent le côté agressif et
morbide de la culture lamaïste (Robert A. Paul, Fokke Sierksma, Colin
Goldner).
Depuis 1997, des personnes appartenant à la suite personnelle du
Dalaï-lama ont apporté des preuves accablantes de l'intolérance, de la
superstition et de l'autocratie régnant au sein du bouddhisme tibétain
(affaire Shugden).
L'univers des rites lamaïstes a également rencontré une critique sévère.
Les intentions humanistes, pacifiques, tolérantes et oecuméniques du
tantra du Kalachakra et du mythe du Shambhata sont remises en question
par une vaste étude (Victor et Victoria Trimondi).
Des émissions télévisées allemandes, suisses et autrichiennes ont
également émis de fortes critiques à l'envers du 14e Dalaï-lama et de
son système basé sur la magie (Panorama, 10 nach 10, Treffpunkt Kultur).
Lors de la visite du "prince de l'église" tibétaine à Munich (mai 2000),
la décision des "pro- Dalaï-lama" d'inviter le "roi-dieu" tibétain à une
manifestation de grande envergure provoqua même une division au sein du
SPD (parti socialiste allemand) et partagea l'ensemble de la presse.
modèle de pouvoir non démocratique et autocratique ;
oppression de toute opposition politique ;
répression des minorités religieuses ;
décisions politiques par décrets personnels sans dialogue ni discussion ;
falsification consciente de l'histoire du Tibet ;
relations non critiquables à ses yeux avec d'anciens SS et avec des
néo-nazis ;
diffamation des critiques ;
rites antiféministes.
Au travers du charisme du Dalaï-lama, de ses démarches, de ses discours
et de ses écrits, apparemment politico-humanistes, s'opère une
gigantesque importation de la culture orientale en Occident, le tout
accepté sans réflexion approfondie.
Le leader bouddhiste interpelle l'homme dans son profond besoin
d'harmonie et de paix.
Cependant la propre histoire du lamaïsme, le contenu des tantras et la
nature des rituels ainsi que les conditions parmi les Tibétains en exil
sont tout sauf paisibles et harmonieux.
Le bouddhisme tibétain est un système religieux archaïque reposant sur
la magie et que les Occidentaux n'ont pas encore commencé à sonder, ni à
expliquer' ».
triptyque-support de la fin du paradigme actuel.
de la transcendance.
c'est nous seuls), plus les néo-conservateurs, scientologues, etc ...
qui ne sont que les pousse-balais.
commencer par "les bouches inutiles" = les pauvres) ... Réfléchissons
qui entrainent sa destruction parfaitement programmée.
chrétienne, musulmane, bouddhique et bien d'autres.
changement sera plus que douloureux. Les mots qui le décrivent sont
issus de nos imageries des pires barbaries vécues. Les religions ne sont
nos esprits de vie en vie.
Mais .......
Ce qui vient est nouveau : Souvenons-nous.
Nous gagnerons. Ils perdront.